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Dans le sujet sur les EL34 a été abordée la question du "courant grille". Même sur le U61 Métrix, il n'est pas possible d'évaluer précisément ce courant grille. A part la commande "vide" qui entraîne le disjonctage de l'appareil en cas de résidus gazeux trop élevés, rien n'indique une valeur de ce courant résiduel ... Il faut donc insérer dans la matrice de commutation un nanoampèremètre analogique tel que celui réalisé par l'AOIP (Association des Ouvriers en Instruments de Précision) https://fr.wikipedia.org/wiki/Associati ... 3%A9cisiondans les années 60... Le mien, qui provient de l'ORTF (on s'en doutait ) fait des miracles ... pour commencer , un jeunot, plus récent , proposé sur la baie il y a quelques temps :
111893aoip_g221_galva_ba.jpg (21.82 Kio) Vu 4409 fois
Modifié en dernier par Wagtbtoobz le ven. 18 déc. 2015 08:42, modifié 1 fois.
eh oui, il faut bien faire travailler les importateurs de chintoqueries à 2 balles ... ces machines analogiques de précision sont pourtant insurpassables en fiabilité, précision, stabilité Le principe est l'amplification mécanique qui renvoie le faisceau lumineux sur le réticule ... tout à fait génial, à condition d'effectuer le verrouillage de l'équipage mobile pendant un transport sinon le fil , plus mince qu'un cheveu, est arraché .... et régler l'assiette au niveau à bulle
) fait des miracles ... pour commencer , un jeunot, plus récent , proposé sur la baie il y a quelques temps :
Le principe est l'amplification mécanique qui renvoie le faisceau lumineux sur le réticule ... tout à fait génial, à condition d'effectuer le verrouillage de l'équipage mobile pendant un transport sinon le fil , plus mince qu'un cheveu, est arraché .... et régler l'assiette au niveau à bulle 
