Je reçois les bulletins d'information de Martin Dornic, un ingénieur du son belge. Habituellement, je lis en travers avant de l'oublier.
Cette fois-ci, à la réception du sixième et dernier volet d'un dossier "l'IA dans le studio de production", je me suis arrêté pour y prêter plus d'attention et j'ai remonté les articles que je n'avais pas vu.
Bonne lecture.Martin Dornic a écrit : En ces temps de hype autour de l'IA (Intelligence Artificielle), je ne peux m'empêcher d'ajouter mon grain de sel. D'autant plus que j'avais déjà écris une série d'articles sur le sujet en 2021!
Pour rappel ou si tu ne l'as pas encore lu, clique ici pour découvrir le dossier :
https://arsonor.com/lintelligence-artif ... -audio-1-6
Et voici ce que j'en disais en conclusion, à propos de l'impact que cela pourrait avoir pour nous, en tant que producteur musical:
https://arsonor.com/lintelligence-artif ... -audio-6-6
Cela me donne aussi l'occasion de t'éclaircir à propos du sous-titre d'Arsonor: "Ni musicien, ni ingé son, Artiste sonore!"
Car de nos jours, aucun aspirant producteur n'a à se sentir frustré de ne pas être un véritable instrumentiste d'une part (le côté musicien de l'artiste) ni un mixeur pro ayant étudié pendant plusieurs années d'autre part (le côté ingé son de l'artiste).
La technologie actuelle et en particulier l'IA, nous permet d'être de plus en plus autonome et productif dans nos créations, et ce quelque soit son profil de départ.
Et comme je le dis en conclusion de l'article, on se dirige vers un seul profil de producteur musical, d'artiste créateur, l'artiste sonore! Pendant que l'IA prendra totalement en charge la technique pure.
Ceci dit, l'artiste sonore, que l'on aspire tous à être, voudra toujours garder un certain contrôle sur ses créations. Pour cela, pas de mystère, l'apprentissage et la pratique de tous les jours sont la clé.
Alors continuons sans relâche à pratiquer notre passion commune si on ne veut pas qu'un jour seule l'IA soit capable de nous faire pleurer...