Suite de la prise en charge du Stelladat II.
Sur le plan électronique et électromécanique tout me semble parfait. L'appareil était utilisé pour le tournage de films et le tambour et les têtes ont été remplacées par des neuves. Toutes les fonctions, les LED répondent rapidement et en souplesse aux commandes de l'utilisateur.
Il est nécessaire de renseigner l'appareil sur le mode d'alimentation et les limites inférieures des voltages des accus avant extinction automatique. C'est une exigence des circuits logiques. J'ai un accu IDX NP-L46 lithium ion qui fonctionne à 14,4 volts. J'indique donc au Stelladat II qu'il faut préparer l'extinction au dessous de 12 volts.
Le problème de la peinture noire est résolu. La structure en alliage très solide des arètes n'est pas malheureusement pas anodisée et tous les Stelladat II ont la peinture noire qui s'écaille avec le temps et les chocs sur le terrain. Il me fallait donc une peinture noire et mate pour support aluminium genre V33 multisupport. J'ai pu repeindre très soigneusement, avec un petit pinceau plat de 5 mm, toute la structure en alliage après dégraissage à l'acétone. J'ai renoncé à un ponçage avec du 800 ou du 1200 car je craignais la pollution des parties sensibles par la poussière. Les résines se sont révélées parfaitement adhésives aprés un temps de séchage long de 36 heures. Deux couches sont nécessaires pour un résultat très satisfaisant.
Par chance, j'ai pu aussi trouver un chargeur intelligent IDX KL-4 plus, vendu avec un accu IDX NP-L50. Je pourrai donc faire des prises de son "on the field" . Ces accus et ce chargeur servaient à l'alimentation des caméras d'épaule pro des années 2002-2004.
Cette machine Stelladat II est très solide et très compacte.Toutes les faces sont en retrait de 4 mm par rapport aux arètes. Elle peut donc reposer sur une de ses faces sans risque pour les prises XLR ou des boutons de commande. À suivre...
