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Goldring GR-1
- EMT938
- Membre éminent
- Messages : 1270
- Enregistré le : dim. 19 août 2012 11:26
Goldring GR-1
Bonjour à tous,
"En réponse à la demande de pacaux"
J'ai fait l'acquisition il y a deux ans environ d'une Goldring GR-1 (clône d'une Rega) pour un prix plus que raisonnable car elle était équipée d'un bras Rega RB251 que je pensais utiliser pour une éventuelle Thorens X.
Cette platine était quasi neuve et se présentait sous la forme d'une plaque de médium d'environ 25mm, d'un moteur Rega au couple généreux bien connu pour les aficionados de cette marque, d'une poulie en matériaux synthétique à deux étages, d'un sous plateau fabriqué dans un matériaux se rapprochant de la résine autour d'un axe en acier mais ne faisant pas office de centreur de disque car là le plastique régnait aussi en maitre.
Le plateau lui était fait en une sorte de médium entre 15 et 20mm, très léger et d'un diamètre inférieur à celui d'un disque de 30cm, recouvert d'une feutrine assez "rigolote"! (il parait que c'est la mode!)
Une courroie d'origine de couleur noire, un Peu lâche et le fameux bras bras Rega RB251 affublé d'un câble de modulation somme toute très rédhibitoire à qui exige un minimum à cet "accessoire".
Au bout d'un certain temps, ne voyant pas la Thorens pointer son nez, je me suis décidé d'arpenter la toile et j'ai récolté de quoi donner enfin vie à cette table de lecture qui, de mon humble point de vue, arrive avec un très grand bonheur à extirper pas mal de chose du creux du sillon du disque.
Les modification sont les suivantes:
Echange du contrepoids d'origine par le Tchnoweight de chez JA Michell afin d'abaisser le centre de gravité au niveau du levier porte pointe, cela pour un meilleur suivit du sillon.
Mise en place d'un système VTA, réglage du bras en hauteur en fonction de la cellule, de chez JA Michell à trois points points de fixations, découplé par trois amortisseurs en caoutchouc dans leur chambrage.
Remplacement du câble de modulation par un Monster câble OFC, cuivre sans oxygène donc qui ne s'oxyde pas, entouré d'une gaine en téflon.
Remplacement du sous plateau et de l'axe d'origine par une magnifique pièce en alliage extrudé dans lequel un axe en acier haute résistance vient prendre place de chez Michael Lim.
Remplacement de la poulie moteur par une poulie à deux étages en acier aussi de chez Michael Lim.
Remplacement du "plateau" d'origine par un modèle an acrylique d'une masse de 2,2kg de chez Mat Acryl.
Remplacement de la courroie noire par un modèle de couleur blanche dont le grippe permet un démarrage très rapide donc une meilleur stabilité de vitesse due à ce fameux grippe.
Un palet presseur JA Michel à fixation mécanique.
Un couvre plateau, l'un des meilleurs que je puisse connaitre, d'une Dual CS5000 recouvre cet ensemble et j'y ai placé au centre; une plaque décor amovible d'une ERA444, afin de pouvoir y mettre quasiment n'importe quelle épaisseur de label sans déformation du disque à la mise en place du palet presseur.
Comme je n'étais pas satisfait du bruit mécanique engendré par le retour à la cellule au moment de tapotements sur le support, je me suis mis à la recherche de suspensions sérieuses et j'ai trouvé mon bonheur en Suisse chez le fabriquant de meuble HIFI Solid Tech, j'y ai ajouté des rondelles en caoutchouc pour éviter le glissement de l'ensemble sur le support.
Je dois dire que depuis peu j'ai vu sur la toile qu'un fabricants proposait des pieds similaire, suspension en caoutchouc et non par ressort, pour les Rega!!!
Voilà donc ma platine prête à recevoir la cellule de mon choix, une Koetsu Black Gold Line et le tout raccordé sur un MC c22 et un Mc 275.
Les photos:
L'originale:
"En réponse à la demande de pacaux"
J'ai fait l'acquisition il y a deux ans environ d'une Goldring GR-1 (clône d'une Rega) pour un prix plus que raisonnable car elle était équipée d'un bras Rega RB251 que je pensais utiliser pour une éventuelle Thorens X.
Cette platine était quasi neuve et se présentait sous la forme d'une plaque de médium d'environ 25mm, d'un moteur Rega au couple généreux bien connu pour les aficionados de cette marque, d'une poulie en matériaux synthétique à deux étages, d'un sous plateau fabriqué dans un matériaux se rapprochant de la résine autour d'un axe en acier mais ne faisant pas office de centreur de disque car là le plastique régnait aussi en maitre.
Le plateau lui était fait en une sorte de médium entre 15 et 20mm, très léger et d'un diamètre inférieur à celui d'un disque de 30cm, recouvert d'une feutrine assez "rigolote"! (il parait que c'est la mode!)
Une courroie d'origine de couleur noire, un Peu lâche et le fameux bras bras Rega RB251 affublé d'un câble de modulation somme toute très rédhibitoire à qui exige un minimum à cet "accessoire".
Au bout d'un certain temps, ne voyant pas la Thorens pointer son nez, je me suis décidé d'arpenter la toile et j'ai récolté de quoi donner enfin vie à cette table de lecture qui, de mon humble point de vue, arrive avec un très grand bonheur à extirper pas mal de chose du creux du sillon du disque.
Les modification sont les suivantes:
Echange du contrepoids d'origine par le Tchnoweight de chez JA Michell afin d'abaisser le centre de gravité au niveau du levier porte pointe, cela pour un meilleur suivit du sillon.
Mise en place d'un système VTA, réglage du bras en hauteur en fonction de la cellule, de chez JA Michell à trois points points de fixations, découplé par trois amortisseurs en caoutchouc dans leur chambrage.
Remplacement du câble de modulation par un Monster câble OFC, cuivre sans oxygène donc qui ne s'oxyde pas, entouré d'une gaine en téflon.
Remplacement du sous plateau et de l'axe d'origine par une magnifique pièce en alliage extrudé dans lequel un axe en acier haute résistance vient prendre place de chez Michael Lim.
Remplacement de la poulie moteur par une poulie à deux étages en acier aussi de chez Michael Lim.
Remplacement du "plateau" d'origine par un modèle an acrylique d'une masse de 2,2kg de chez Mat Acryl.
Remplacement de la courroie noire par un modèle de couleur blanche dont le grippe permet un démarrage très rapide donc une meilleur stabilité de vitesse due à ce fameux grippe.
Un palet presseur JA Michel à fixation mécanique.
Un couvre plateau, l'un des meilleurs que je puisse connaitre, d'une Dual CS5000 recouvre cet ensemble et j'y ai placé au centre; une plaque décor amovible d'une ERA444, afin de pouvoir y mettre quasiment n'importe quelle épaisseur de label sans déformation du disque à la mise en place du palet presseur.
Comme je n'étais pas satisfait du bruit mécanique engendré par le retour à la cellule au moment de tapotements sur le support, je me suis mis à la recherche de suspensions sérieuses et j'ai trouvé mon bonheur en Suisse chez le fabriquant de meuble HIFI Solid Tech, j'y ai ajouté des rondelles en caoutchouc pour éviter le glissement de l'ensemble sur le support.
Je dois dire que depuis peu j'ai vu sur la toile qu'un fabricants proposait des pieds similaire, suspension en caoutchouc et non par ressort, pour les Rega!!!
Voilà donc ma platine prête à recevoir la cellule de mon choix, une Koetsu Black Gold Line et le tout raccordé sur un MC c22 et un Mc 275.
Les photos:
L'originale:
Modifié en dernier par EMT938 le mer. 15 oct. 2014 09:39, modifié 5 fois.
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- EMT938
- Membre éminent
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- Enregistré le : dim. 19 août 2012 11:26
Re: Goldring GR-1
Suite:
Modifié en dernier par EMT938 le mer. 15 oct. 2014 10:17, modifié 5 fois.
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- EMT938
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Re: Goldring GR-1
Suite:
Modifié en dernier par EMT938 le mer. 15 oct. 2014 10:23, modifié 2 fois.
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- Junameshe
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Re: Goldring GR-1
Belles photos et beau travail.
Comme dit, maintenant, on attend les résultats de l'écoute
Comme dit, maintenant, on attend les résultats de l'écoute
- EMT938
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- Enregistré le : dim. 19 août 2012 11:26
Re: Goldring GR-1
Et bien les voilà,
J'ai fait l'acquisition de cette cellule par une connaissance qui me l'a cédée à un prix somme toute vraiment raisonnable quand on sait à quel tarif elle se vend.
Toujours montée sur cette platine, je n'en étais pas vraiment satisfait en regard du prix de base.
je trouvais qu'elle sonnait correctement mais manquait sur tout le spectre de définition, de séparation des canaux, un manque de profondeur, de perspective et sur des ensembles orchestraux assez complexe une spatialisation fade par manque de respect des plans, du positionnement des musiciens.
De plus la dynamique n'était pas au rendez vous.
Elle fut d'abord raccordée à un préampli Xindak CA1 et celui-ci ne possédant pas d'entrée phono, j'avais mis comme intermédiaire un Cambridge 540P qui, pour ceux qui le connaisse, est une pièce assez qualitative et neutre.
Par la suite elle fut raccordée à un très bon préampli, un Onkyo P3890 ou 388 selon le pays, sur l'entrée phono MC qui possède sa propre alimentation est un circuit spécifique complètement indépendant donc de l'autre entrée phono MM.
D'ailleurs ce préampli couplé avec le bloc de puissance M588 est une véritable bombe et cela à plus d'un titre.
Le résultat a été plus probant qu'avec l'ensemble Xindak et Cambridge mais je n'étais pas au pinacle de l'écoute que j'en attendais.
La platine fut remisée un certain temps et une fois que plusieurs autres platines, que j'avais restaurées furent vendues, une idée me traversa la tête.
J'utilise en général sur mes différentes platines des cellules Ortofon MC et Denon et oar ce fait je possède deux élévateurs de tension Ortofon, un STM72 et surtout un T10.
Bien-sur vous me direz que le niveau de sortie de la Koetsu est plus important qu'une MC20 ou une MC10, 06 pour la première citée et environ 0,25 pour les deux autres et bien soit me voilà parti pour un essai sur l'ensemble Mc Intosh qui conduit des JBL250Ti mais que j'alimente en 4ohms et non en 8 ohms.
Je pense que beaucoup connaissent les qualité du préampli phono du C22.
A la première écoute avec cet ensemble j'ai eu vraiment l'impression de découvrir cette cellule qui d'un coup m'offrait enfin cette qualité que je recherche beaucoup qu'est la dynamique et tout le reste à suivi.
Mon disque test en ce qui concerne tout ce que je lui reprochais a été un disque de chez Mercury.
L'Oiseau de Feu d'Igor Stravinsky, dirigé par Antal Dorati avec l'orchestre symphonique de Londre n°: SR90226.
Ce type d'enregistrement met à rude épreuve un système car il contient tout ce qui permet d'apporter un jugement sur la dynamique, la spatialisation, le respect des plans, la largeur, la profondeur, un détourage mais pas excessif des instruments et cela sur tout le spectre sonore.
Voilà, ça claque mais sans faire de mal, en apportant le plaisir d'une écoute sans se poser de question.
J'ai fait l'acquisition de cette cellule par une connaissance qui me l'a cédée à un prix somme toute vraiment raisonnable quand on sait à quel tarif elle se vend.
Toujours montée sur cette platine, je n'en étais pas vraiment satisfait en regard du prix de base.
je trouvais qu'elle sonnait correctement mais manquait sur tout le spectre de définition, de séparation des canaux, un manque de profondeur, de perspective et sur des ensembles orchestraux assez complexe une spatialisation fade par manque de respect des plans, du positionnement des musiciens.
De plus la dynamique n'était pas au rendez vous.
Elle fut d'abord raccordée à un préampli Xindak CA1 et celui-ci ne possédant pas d'entrée phono, j'avais mis comme intermédiaire un Cambridge 540P qui, pour ceux qui le connaisse, est une pièce assez qualitative et neutre.
Par la suite elle fut raccordée à un très bon préampli, un Onkyo P3890 ou 388 selon le pays, sur l'entrée phono MC qui possède sa propre alimentation est un circuit spécifique complètement indépendant donc de l'autre entrée phono MM.
D'ailleurs ce préampli couplé avec le bloc de puissance M588 est une véritable bombe et cela à plus d'un titre.
Le résultat a été plus probant qu'avec l'ensemble Xindak et Cambridge mais je n'étais pas au pinacle de l'écoute que j'en attendais.
La platine fut remisée un certain temps et une fois que plusieurs autres platines, que j'avais restaurées furent vendues, une idée me traversa la tête.
J'utilise en général sur mes différentes platines des cellules Ortofon MC et Denon et oar ce fait je possède deux élévateurs de tension Ortofon, un STM72 et surtout un T10.
Bien-sur vous me direz que le niveau de sortie de la Koetsu est plus important qu'une MC20 ou une MC10, 06 pour la première citée et environ 0,25 pour les deux autres et bien soit me voilà parti pour un essai sur l'ensemble Mc Intosh qui conduit des JBL250Ti mais que j'alimente en 4ohms et non en 8 ohms.
Je pense que beaucoup connaissent les qualité du préampli phono du C22.
A la première écoute avec cet ensemble j'ai eu vraiment l'impression de découvrir cette cellule qui d'un coup m'offrait enfin cette qualité que je recherche beaucoup qu'est la dynamique et tout le reste à suivi.
Mon disque test en ce qui concerne tout ce que je lui reprochais a été un disque de chez Mercury.
L'Oiseau de Feu d'Igor Stravinsky, dirigé par Antal Dorati avec l'orchestre symphonique de Londre n°: SR90226.
Ce type d'enregistrement met à rude épreuve un système car il contient tout ce qui permet d'apporter un jugement sur la dynamique, la spatialisation, le respect des plans, la largeur, la profondeur, un détourage mais pas excessif des instruments et cela sur tout le spectre sonore.
Voilà, ça claque mais sans faire de mal, en apportant le plaisir d'une écoute sans se poser de question.
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- CHARLES33
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Re: Goldring GR-1
Techniquement je n'ajouterai rien à ce qui vient d'être dit précédemment car complètement incompétent.
Par contre le choix du disque test me parait extrêmement judicieux. Cette version de l'Oiseau de Feu est sans doute celle qui procure la meilleure reproduction sonore (la danse infernale du roi Kastchei en est l'exemple le plus frappant). Les preneurs de son de chez Mercury avaient fait des miracles de simplicité et de transparence :respect:
Quand pourrais je revenir un jour de façon permanente à ce merveilleux support ?
Par contre le choix du disque test me parait extrêmement judicieux. Cette version de l'Oiseau de Feu est sans doute celle qui procure la meilleure reproduction sonore (la danse infernale du roi Kastchei en est l'exemple le plus frappant). Les preneurs de son de chez Mercury avaient fait des miracles de simplicité et de transparence :respect:
Quand pourrais je revenir un jour de façon permanente à ce merveilleux support ?

- EMT938
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Re: Goldring GR-1
En fait ce disque fait partie d'un coffret comprenant 3 disques dont Le Sacre du Printemps et Pétrouchka.
C'est une réédition vraiment très belle et je ne parlerais même pas de prix car à ce stade de qualité audio c'est un plaisir à chaque fois renouvelé.
J'en ai fait l'acquisition il n'y a pas très longtemps à la boutique "Analog Collector" de Paris que j'ai connue grâce à un ancien de chez Thorens France, un Monsieur très sympa et connaisseur en la matière.
D'ailleurs ce matin j'ai eu une sacrée frayeur en écoutant ce disque sur une TD126 MKIII que j'ai restaurée et qui est équipée d'une Ortofon MC10 Super.
Le son frisait considérablement dans les hautes fréquences et j'entendais plus de crachotements et de souffle que la musique proprement dite.
Après un petit passage à la loupe je pensais que mon diamant avait subi un choc rédhibitoire, en fait, et malgré mes efforts pour l'entretient et des disques toujours très propres, une gangue enserrait le dit diamant.
j'ai eu un peu de mal à retirer cette gangue grâce à de l'alcool à 60°.
Ouf donc!
C'est une réédition vraiment très belle et je ne parlerais même pas de prix car à ce stade de qualité audio c'est un plaisir à chaque fois renouvelé.
J'en ai fait l'acquisition il n'y a pas très longtemps à la boutique "Analog Collector" de Paris que j'ai connue grâce à un ancien de chez Thorens France, un Monsieur très sympa et connaisseur en la matière.
D'ailleurs ce matin j'ai eu une sacrée frayeur en écoutant ce disque sur une TD126 MKIII que j'ai restaurée et qui est équipée d'une Ortofon MC10 Super.
Le son frisait considérablement dans les hautes fréquences et j'entendais plus de crachotements et de souffle que la musique proprement dite.
Après un petit passage à la loupe je pensais que mon diamant avait subi un choc rédhibitoire, en fait, et malgré mes efforts pour l'entretient et des disques toujours très propres, une gangue enserrait le dit diamant.
j'ai eu un peu de mal à retirer cette gangue grâce à de l'alcool à 60°.
Ouf donc!
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- pacaux
- Membre honoraire
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- Enregistré le : sam. 15 sept. 2012 21:50
- Localisation : Charleroi Belgique
Re: Goldring GR-1

Superbe transformation


Saurais tu me dire ou tu as déniché le bras de nettoyage? J'en cherche un de bonne facture
- EMT938
- Membre éminent
- Messages : 1270
- Enregistré le : dim. 19 août 2012 11:26
Re: Goldring GR-1
Bonsoir à toi,
En fait j'ai connu ces bras dépoussiéreurs en même temps que j'ai connu Thorens, sauf que le premier modèle était plus grossier de fabrication.
Cela faisait parti de la gamme d'accessoires proposés à cette époque dans les années 75 à 80.
Ils ont été déclinés dans plusieurs versions mais je n'en connais pas le constructeur.
Celui qui est présenté avec cette table de lecture m'a été très généreusement offert par un ami et de surcroit c'est le modèle haut de gamme car il est articulé sur roulement à billes et ses poils doivent être ou de la mangouste ou du poil de martre.
C'est accessoire est à mon avis indispensable car il élimine d'une manière très efficace les micros poussières qui se comportent comme de l'abrasif au passage de la pointe dans le sillon du disque.
La longévité et du disque et de la pointe y gagne sans aucun doute possible.
J'utilise aussi une brosse faite en velours de Gênes, brosse qui est en ma possession depuis plus de 30 années sans aucune usure et pour parfaire ce nettoyage à sec, un rouleau de chez Nagaoka en élastomère complète cet ensemble de nettoyage.
Tu pourras trouver ce type de bras dépoussiéreur sur la toile mais malheureusement à des prix pour le moins prohibitifs, en même temps ils durent, durent, durent!
En fait j'ai connu ces bras dépoussiéreurs en même temps que j'ai connu Thorens, sauf que le premier modèle était plus grossier de fabrication.
Cela faisait parti de la gamme d'accessoires proposés à cette époque dans les années 75 à 80.
Ils ont été déclinés dans plusieurs versions mais je n'en connais pas le constructeur.
Celui qui est présenté avec cette table de lecture m'a été très généreusement offert par un ami et de surcroit c'est le modèle haut de gamme car il est articulé sur roulement à billes et ses poils doivent être ou de la mangouste ou du poil de martre.
C'est accessoire est à mon avis indispensable car il élimine d'une manière très efficace les micros poussières qui se comportent comme de l'abrasif au passage de la pointe dans le sillon du disque.
La longévité et du disque et de la pointe y gagne sans aucun doute possible.
J'utilise aussi une brosse faite en velours de Gênes, brosse qui est en ma possession depuis plus de 30 années sans aucune usure et pour parfaire ce nettoyage à sec, un rouleau de chez Nagaoka en élastomère complète cet ensemble de nettoyage.
Tu pourras trouver ce type de bras dépoussiéreur sur la toile mais malheureusement à des prix pour le moins prohibitifs, en même temps ils durent, durent, durent!
Pour que le passé ne soit pas qu'un vague souvenir
- pacaux
- Membre honoraire
- Messages : 258
- Enregistré le : sam. 15 sept. 2012 21:50
- Localisation : Charleroi Belgique
Re: Goldring GR-1
Merci pour ces renseignements. Je sais ou en trouver mais bas de gamme 
